La correctrice
Je m’appelle Myriam, mais mes proches me surnomment parfois Œil-de-lynx 👁️ en raison de mon habileté à détecter les coquilles. Passionnée par la lecture et l’orthographe dès l’enfance, et par la correction depuis des années, j’ai choisi le Centre d’écriture et de communication (CEC) pour me former au métier de lecteur-correcteur.
Un an après l’obtention de mon titre, j’ai officiellement fondé ma microentreprise et j’exerce donc en indépendante depuis 2021.
Souvent observée (épiée ?) par un Faust fouineur (ci-contre), je veille à la mise en valeur de votre prose, sans jamais vous trahir.
Je démarre toujours la correction d’un texte avec honneur et curiosité et je serai ravie de pouvoir vous aider à sublimer vos écrits.
Mes compétences : vérification des informations, détection des incohérences, préparation de copie, relecture et correction (orthographe, grammaire, syntaxe, ponctuation, typographie), réécriture, révision de textes traduits de l’anglais.
Mes préférences : les romans, la science-fiction, la fantasy et le fantastique, les mémoires et thèses en sciences humaines.
Les défis qui me plaisent :
- détecter les incohérences
- trouver le mot juste
- me couler dans le style d’un auteur pour ne pas le dénaturer
- traquer les coquilles
Mes romans préférés :
- La trilogie Trademark (BonheurTM, VieTM, MortTM) de Jean Baret
- Le Goût pour l’immortalité de Catherine Dufour
- La saga A Song of Ice and Fire de George R. R. Martin
- After® d’Auriane Velten
Mes autres centres d’intérêt :
L’écologie, la psychologie, la photographie, le dessin… J’aime les arts, la musique, l’anglais, la Grèce (où j’ai vécu 12 ans) et le grec moderne. Je carbure au café ☕, et je ne saurais me passer de mon chat. 😼
Divers : je suis membre de l’Association des correcteurs de langue française (ACLF).
Mon opinion quant à l’écriture inclusive :
Un correcteur ou une correctrice n’a à juger ni du style ni de la langue, car il se doit de tenir compte des valeurs propres à chacun et chacune. Or, rejeter l’écriture inclusive reviendrait à nier les idéaux de l’auteurice1. Évidemment, ce ne serait pas tolérable : sublimer un écrit n’équivaut pas à censurer l’évolution de la langue, au contraire.
Je consacrerai un article à l’écriture inclusive du côté blog de ce site (juste ici [lien]), cependant je m’adapte à vos envies, souhaits et pratiques.
Éditeur ou éditrice, auteur ou autrice en autoédition ou non, universitaire ou étudiant, entreprise ou particulier, n’hésitez pas à me contacter par mail.
Mon CV détaillé est disponible sur LinkedIn :
- Néologisme pour désigner une personne non binaire qui écrit. ↩︎
En résumé 🧐
Plus que de la correction orthographique et grammaticale, mon travail consiste à :
— débusquer les pléonasmes, incohérences, anachronismes, anglicismes et barbarismes,
— apporter un regard neuf sur votre texte pour chasser les coquilles auxquelles on ne prête plus attention,
— veiller à la coordination des temps,
— appliquer l’orthotypographie (guillemets, italique, majuscules, ponctuation, espaces, chiffres). Si j’ai un doute, je me réfère à la typographie propre à l’Imprimerie nationale),
— émettre des suggestions.
Ma spécialité : la préparation de copie (pour un texte qui n’a pas été corrigé au préalable par quelqu’un du métier).